On sait très bien que la mort, par incompétence foncière ou mauvaise foi née de l'expérience, ne choisit pas ses victimes en fonction de la durée de leur vie, procédé qui, soit dit entre parenthèses et en hommage aux innombrables autorités philosophiques et religieuses qui se sont prononcées sur ce sujet, finit par produire chez l'être humain (...) l'effet paradoxal d'une sublimation intellectuelle de la terreur naturelle de mourir.
On sait rès bien que la mort, par conséquence foncière ou mauvaise foi née de l'expérience, ne choisit pas ses victimes en fonction de la durée d e leur vie, procédé qui, soit dit en parenthèse et en hommage aux innombrables autorités philosiphiques et religieuses qui se sont prononcées sur ce sujet, finit par produire chez l'homme l'effet paradoxal d'une sublimation intellectuelle de la terreur naturelle de mourir