C'est alors que je le vis. Il y eut à peine un léger remous, puis il émergea des flots sombres. Ce gigantesque Polyphème répugnant se jeta sur le monolithe et, tel le prodigieux monstre cauchemardesque qu'il était, l'entoura de ses longs bras couverts d'écailles, tout en baissant sa tête hideuse pour cracher des sons articulés. C'est, je crois, à cet instant précis que je perdis la raison.