Dépourvus du moindre biscuit de survie, certains se sont sustentés avec des harengs pacqués, des clovisses charnues, avec du phytoplancton, voire des rhodophycées, et ont ainsi survécu. Croisant des vraquiers ou des thoniers, vainquant des vents cycloniques, ils se sont aussi dégagés de lames qui les auraient engloutis.