Comentarios recientes

Concerned Typist
Bro what u yapping about

Norman Schwarzkopf
One of the weirdest quotes I've ever come across. Thinking America is the only country …

Anonymous
I eat spiders.

Dr. Seuss
This is a good quote :)

Jimmy Hayward
The most fire movie of all time.

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Bernard Werber
Le roman est le contraire de l'article. Le roman prend le lecteur pour un être capable de se forger seul une opinion. L'article veut le forcer à avoir la même opinion que le journaliste et pour appuyer l'effet il utilise un subterfuge : la photo avec légende.

Groucho Marx
Je trouve que la télévision est très favorable à la culture. Chaque fois que quelqu'un l'allume chez moi, je vais dans la pièce d'à côté et je lis un livre.

Stefan Zweig - Le Joueur d'échecs
Les monomaniaques de tout poil, les gens qui sont possédés par une seule idée m'ont toujours spécialement intrigué, car plus un esprit se limite, plus il touche par ailleurs à l'infini.

John Ronald Reuel Tolkien - Bilbo le Hobbit
Me souhaitez-vous le bonjour ou constatez-vous que c'est une bonne journée, que je le veuille ou non, ou que vous vous sentez bien ce matin, ou encore que c'est une journée où il faut être bon ?

Alexandre Dumas - Caligula : À la bonne heure.
À la bonne heure. (Il boit.) Écoute, maintenant. (Rêveur.) Il était une fois un pauvre empereur que personne n'aimait. Lui, qui aimait Lepidus, fit tuer son plus jeune fils pour s'enlever cet amour du cœur. (Changeant de ton.) Naturellement, ce n'est pas vrai. Drôle, n'est-ce pas ? Tu ne ris pas. Personne ne rit ? Écoutez alors. (Avec une violente colère.) Je veux que tout le monde rie. Toi, Lepidus, et tous les autres. Levez-vous, riez. (Il frappe sur la table.) Je veux, vous entendre, je veux.

Alexandre Dumas - Le Comte de Monte-Cristo : Supposez …
Supposez que le Maître suprême, après avoir créé le monde, après avoir fertilisé le chaos, se fût arrêté au tiers de la création pour épargner à un ange les larmes que nos crimes devaient faire couler un jour de ses yeux immortels. Supposez qu'après avoir tout préparé, tout pétri, tout fécondé, au moment d'admirer son oeuvre, Dieu ait éteint le soleil et repoussé du pied le monde dans la nuit éternelle, alors vous aurez une idée, ou plutôt non, non, vous ne pourrez pas encore vous faire une idée

Alexandre Dumas - Le Comte de Monte-Cristo : Je n'ai que deux adversaires.
Je n'ai que deux adversaires ; je ne dirai pas deux vainqueurs, car avec la persistance je les soumets : c'est la distance et le temps. Le troisième, et le plus terrible, c'est ma condition d'homme mortel. Celle-là seule peut m'arrêter dans le chemin où je marche, et avant que j'aie atteint le but auquel je tends : tout le reste, je l'ai calculé.

Alexandre Dumas - Le Comte de Monte-Cristo : l'amour de son prochain.
Menez deux moutons à la boucherie, deux boeufs à l'abattoir, et faites comprendre à l'un d'eux que son compagnon ne mourra pas, le mouton bêlera de joie, le boeuf mugira de plaisir ; mais l'homme, l'homme que Dieu a fait à son image, l'homme à qui Dieu a imposé pour première, pour unique, pour suprême loi, l'amour de son prochain, l'homme à qui Dieu a donné une voix pour exprimer sa pensée, quel sera son premier cri quand il apprendra que son camarade est sauvé ? Un blasphème.

Alexandre Dumas - Le Comte de Monte-Cristo : le philosophe
Je sonnai pour qu'on m'apportât de la lumière, personne ne vint ; je résolus alors de me servir moi-même. C'était d'ailleurs une habitude de philosophe qu'il allait me falloir prendre.

Alexandre Dumas - Le Comte de Monte-Cristo : Apprendre
- Apprendre n'est pas savoir ; il y a les sachant et les savants : c'est la mémoire qui fait les uns, c'est le philosophie qui fait les autres. - Mais ne peut-on apprendre la philosophie ? - La philosophie ne s'apprend pas ; la philosophie est la réunion des sciences acquises au génie qui les applique : la philosophie, c'est le nuage éclatant sur lequel le Christ a posé le pied pour remonter au ciel.

Alexandre Dumas - Le Comte de Monte-Cristo : En politique
En politique, mon cher, vous le savez comme moi, il n'y a pas d'hommes, mais des idées ; pas de sentiments, mais des intérêts ; en politique, on ne tue pas un homme : on supprime un obstacle, voilà tout.

Albert Camus - Lettre à un ami allemand
Je veux vous dire tout de suite quelle sorte de grandeur nous met en marche. Mais c'est vous dire quel est le courage que nous applaudissons et qui n'est pas le vôtre. Car c'est peu de chose que de savoir courir au feu quand on s'y prépare depuis toujours et quand la course vous est plus naturelle que la pensée. C'est beaucoup au contraire que d'avancer vers la torture et vers la mort quand on sait de science certaine que la haine et la violence sont choses vaines par elles-mêmes. C'est beaucoup