Les touristes affluaient des quatre coins du monde à Varosha pour y célébrer lunes de miel, diplômes, anniversaires de mariage... Ils économisaient afin de passer quelques jours dans cette station balnéaire réputée. (...) Si c'était bien le paradis, ils savaient par les journaux qu'il y avait du grabuge sur les confins, entendaient les récits de tensions entre les communautés turque et grecque. Mais à l'intérieur de la station, le spectre de la guerre civile restait invisible (...).