Une chose encore, dit-elle. Je n'ai honte de rien de ce que j'ai fait. Il n'y a pas de honte à aimer et à le dire. Ce n'était pas vrai. La honte de sa faiblesse, de sa lettre, de son amour, continuerait de la dévorer, de la consumer jusqu'à la fin de sa vie. Après tout, cela ne faisait pas tellement mal ! Pas au point de ne pas pouvoir le supporter en secret, sans rien montrer. (...) Elle pourrait écrire un livre maintenant, Roddy serait un des personnages, (...) ou bien se tuer.