Nylige kommentarer

Himarsha Gokhale
There are literally other sites for that. This is not that kind of site.

the person who typed this
The problem with short quotes is that they are not an accurate representation of your …

xkouki
"qwerty" is, ironically, rather difficult to type in Dvorak...

Dr. Elisabeth Kubler-Ross
Jeg får feil ved "k" i ", ​​kjent tap" selv om jeg skriver rett!

Bebe Kuhlet
I don't think it matters if you are homeless or not. I think the reality …

Mer

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Jules Vernes - Le tour du monde en quatre-vingt jours (4)
Phileas Fogg, carrément assis dans son fauteuil, les deux pieds rapprochés comme ceux d'un soldat à la parade, les mains appuyées sur les genoux, le corps droit, la tête haute, regardait marcher l'aiguille de la pendule, appareil compliqué qui indiquait les heures, les minutes, les secondes, les jours, les quantièmes et l'année. À onze heures et demie sonnant, Mr. Fogg devait, suivant sa quotidienne habitude, quitter la maison et se rendre au Reform-Club.

Jules Vernes - Le tour du monde en quatre-vingt jours (3)
Ce Phileas Fogg était-il riche ? Incontestablement. Mais comment il avait fait fortune, c'est ce que les mieux informés ne pouvaient dire, et Mr. Fogg était le dernier auquel il convînt de s'adresser pour l'apprendre. En tout cas, il n'était prodigue de rien, mais non avare, car partout où il manquait un appoint pour une chose noble, utile ou généreuse, il l'apportait silencieusement et même anonymement.

Jules Vernes - Le tour du monde en quatre-vingt jours (2)
Phileas Fogg était membre du Reform-Club, et voilà tout. À qui s'étonnerait de ce qu'un gentleman aussi mystérieux comptât parmi les membres de cette honorable association, on répondra qu'il passa sur la recommandation de MM. Baring frères, chez lesquels il avait un crédit ouvert. De là une certaine "surface", due à ce que ses chèques étaient régulièrement payés à vue par le débit de son compte courant invariablement créditeur.

Jules Vernes - Le tour du monde en quatre-vingt jours
En l'année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens - maison dans laquelle Sheridan mourut en 1814 -, était habitée par Phileas Fogg, esq., l'un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu'il semblât prendre à tâche de ne rien faire qui pût attirer l'attention.