Au départ, il faut être poursuivi par la peur de la naissance et de la mort comme un cerf qui s'échappe d'un piège. À mi-chemin, il ne faut rien avoir à regretter, même si l'on meurt à l'instant, comme le paysan qui a travaillé la terre avec soin. À la fin, il faut être heureux comme celui qui a terminé une immense tâche. Ce qu'il faut surtout savoir, c'est qu'il n'y a pas de temps à perdre, comme si une flèche avait atteint un point vital de notre corps.