Il s'agenouilla sur la piste à l'abri des sous-bois. Ses yeux noirs scrutaient les rochers devant lui et les arbres au loin. Vêtu d'une chemise en daim à franges, d'un pantalon et de bottes marron, le gaillard était quasiment invisible, à l'ombre des arbres. Le soleil était haut dans le ciel d'été, et aucun nuage n'était visible. Les traces dataient de moins de trois heures. Des insectes avaient laissé des croisées dans les empreintes de sabots, mais les bords étaient toujours intacts.